Je me prénomme Ayanamie, je suis une Worgen, jeune et effrayée, cela fait plusieurs mois que je fuis, je fuis la terre où je suis née, une terre empoisonnée par la peste et les réprouvées.

Je suis née dans une tanière qui se situe à coté de Fossoyeuse, là où les morts se relèvent.

Mon père et ma mère se sont installé là-bas alors que je n'étais même pas née, ils ne connaissais pas cette endroit, ils ne savaient ce qu'il se trouvait à cette endroit.

Fossoyeuse, cette ville que je déteste et qui me répugne. Longtemps, cette endroit été un lieu de survie, mes parents n'ont pas eu le choix, ils ont été traqué, traqué par les hommes, jusqu'à qu'ils arrivent là-bas, les hommes on arrêter de les traquer car ils avaient peur de cette endroit funeste, pour mon père, cette endroit été une révélation, un paradis.

Ils décidèrent de fonder une meute, et elle se créa au fil des années, jusqu'au jour où je suis née, née en Worgen, après quelque années, mes parents et mes frères virent la terre se transformer, flétrissant a vue d'œil, ils eurent des visions d'horreur, un mal qui dormait, des morts qui bougeaient.

Notre meute été offensée car ils détruisaient notre territoire, alors on à conclues qu'il fallait nous défendre, j'ai tué mon premier mort vivant à l'âge de huit ans, et je suis devenue douée dans l'art de la chasse, j'ai un grand respect envers la nature et les animaux. Je tuée d'une seul flèche.

Un jour alors que la meute se reposait, notre père est partit chassait pour que le lendemain, nous puissions mangeait au petit déjeuner, lors de son retour il été content, car il avait réussi a nous ramener trois belle biches bien dodus.

Mais il ne savait pas, il été suivit, par un assassin mort vivant, nous dormions tous, cette assassin à tué les membres de ma famille un à un, dans le silence le plus total, il ne resté que mes parents et moi, il tua ma mère, mais cela réveilla mon père et moi, fou de rage, il combattit l'assassin, mais ce n'était pas assez, l'assassin réussi, il tua mon père, je n'ai rien pu faire, paralyser par ce que je venais de voir, j'assistais à son exécution, impuissante. L'assassin repartit, je ne comprenez pas, en repartant, il à dit que son contrat été terminer. Pendant quatre jour, je suis resté dans la tanière, pleurant sur mon sort...

Ensuite, j'ai décidé de me vengeais, mes dons pour la chasse sont exceptionnel, j'ai traqué pendant trois semaine l'assassin, jusqu'au jour où je l'ai trouvais, j'ai attendu le bon moment et j'ai fait ce qu'il m’a fait, j'ai tué toutes sa famille!!!

Mais ma rage ne se calmait pas, lors du massacre que j'ai effectué, j'ai trouvé des Artefact intéressant, un magnifique arc, certes en os, mais je le trouvé facile à manier, et j'ai trouvé la dague avec lequel il a assassiner ma meute..

Ensuite j'ai fui, j'ai voyager pendant beaucoup de temps, je suis épuiser car j'ai nul endroit où dormir et maintenant je me met à parler à moi-même, je suis en train de m'assoupir, allonger à côté d'une maison fabriquer par les humains, dans une forêt où ils sont les maitres absolu..

Punaise! Je suis là en train de me rappeler de la vie que j'ai vécu et dire que je suis venu la car j'ai senti une présence, une meute, c'est mon seul espoirs, il faut que je me batte, même si je suis fatiguer, je vais me reposer la un instant, mais je sens qu'ils sont tout proche..

Ayanamie s'endort quand soudains une grande silhouette s'annonce devant elle..

Un Worgen, devant elle, elle n'en croyais pas ses yeux et elle se leva d'un coup.

Elle ne pouvait pas parler, stupéfié. Le Worgen devant elle fit le premier pas

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Merci des conseilles j'ai modifier mon texte et j'espère qu'il plait a tous.
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Seulement les brumes du sommeil avait du lui embrouiller la tête car lorsque la silhouette immense et dégingandée se pencha sur elle, elle n'avait absolument rien d'une worgen. Du moins en apparence.
C'était une grande fille, pas bien vieille, mais qui avait du marquer vite par le concours d'une vie pas très saine. Elle était crasseuse couverte de bleus et de coupures diverses, et mal attifée, de brics et de brocs. Sa chevelure noire et ébouriffée n'avait pas su se discipliner sous l'égide d'une parodie de queue de cheval des plus cocasse. Ses bras nus étaient tatoués des épaules aux poignets de motifs torsadés. Des ronces peut-être. Au milieu d'un visage sale et effilé deux yeux d'un bleus tranchants scrutaient l'intruse.
Elle s'accroupit en mordillant ce qui avait tout l'air d'une arrête de poisson. Poisson dont elle semblait user comme parfum vu l'odeur fortement marine qu'elle dégageait.

- Hey la moche ! T'sais qu'tu pionces en plein dans ma piaule là ?

Elle désigna les herbes folles aplaties par le poids de la worgen qui trônait au beau milieu du camp des bûcherons du Val d'est, coté ruisseau, sous un vieux chêne à qui on ne la faisait plus. Drôle de "piaule".
La drôlesse entreprit de renifler Ayanamie.

- T'es pas d'ici toi. T'as beau avoir des poils t'es pas d'la Meute, pas vrai ?

Alors seulement Ayanamie remarqua sous une couche de capes et de peaux tannées usées, que la demoiselle portait un tabard : un tabard frappé d'une patte d'or.

Autant que j'puisse en juger, elle avait pas d'cernes sous les yeux. M'enfin avé les poils on remarque plus ce genre de choses. Toujours accroupie, les bras balant devant moins comme un singe, je devais donner l'impression d'être prête à déféquer.
Au lieu d'ça j'ai penché la tête sur l'coté.

- Nope. J'ai rien capté. T'sais les mecs qui sont calus du baluchons c'est pas c'qui manque ici ! Avé toute le kilo d'sciure qui se prennent dans l'pif à force de couper du bois, dois bien y'avoir des échardes qui sont restées coincées là haut !

Je tendis ma main sous sa gueule, bien droite.

- Moi c'est Sizreïs. Appelle moi Siz', j't'appellerais Yaya. J'retiens jamais les noms exotiques.

Tout en retirant l'arrête coincée entre mes dents je lui fis :

- T'as faim ? J'reviens d'la pêche.

Et sans attendre de réponse je posais mon cul à coté d'elle en foutant mon filet d'esturgeons entre nous et me mis en quête de nous faire un peu d'feu. Où j'avais barré mon amadou encore dans le foutoir de ce sac ?! Ah ! Là.
Choc des deux pierres du briquet. Inflammation instantanée de l'amadou. Craquement des brindille en train de se faire dévorer par les flammes.


- Tu leur veux quoi à la Meute ?

J'haussai un sourcil. Pas finaude la fille. Elle venait de m'arracher mon cure-dent pour le mastiquer.

- Mais va pas bouffer c'truc ! Attends au moins que j'ai fait cuir la bectance ! T'as vraiment les crocs, paroles !

"Yaya" se mit alors a déblatérer sa vie à base de 'j'ai vue d'la lumlière", " j'peux pas vivre toute seule", " la meute la meute" blabla... J'écoutais qu'à moitié. Moi j'm'en carrais d'la meute, d'la famille et de ces conneries pour faire chialer dans les chaumières. Je restais par devoir envers Mamie Ja'...
Et aussi parce que j'avais pas d'autre endroit où aller et que finalement on s'habitue à tout...

Une image de Kurth se fixa dans mon esprit.

Qu'est-qui venait faire là !?

Je me grattai la tête comme pour l'en extirper et me concentrai sur la gonz'.

-Vue vos blessures, se ne sont pas des autres normaux qui vous on fait ça je suppose, vous devais bien connaitre les mort-vivant vous et a vous voir, vous avez de l'expérience sur le sujet ?

- Hein ? Tu parles de mes p'tit bobos là ?! AHAHAHAHAHA ! "pas normaux" AHAHAHAHA!!!!

Je fus prise d'une crise de fou rire incontrôlable. Ce n'est qu'en attisant les braise pour poser mes esturgeons dessus que je repris un semblant de calme.

- Mais ouais ma poule ! C'que tu vois là c'est le résultat du piiiiiiiiire des combats ... Les entrainement d'ma tutrice, la cheftaine de la p'tite flatterie avec qui je me suis acoquinée : Rufina qu'elle s'appelle. Avant de t'inquiéter des Réprouvés, faudrait sans doute que tu t'angoisses un peu plus pour tes miches. Ici ça marche au pas sinon on t'y aide.

Je tournais les poiscailles sur la pierre chaude. ça fumait bon dans l'air.

- J'imagine qui faut ça pour aller sur l'terrain. Mais chuis pas la meilleure personne pour te dire comment respecter les règles ! Hey ! Dis-moi, t'viens quand même pas de Gilnéas à patte là ?

Moi je n'ai rien pu avaler sur l'coup. J'venais d'avoir un choc culturel d'une puissance démesurée. C'était la première fois que je rencontrais une worgen qui n'avait pas contracté la malédiction dans notre bonne vieille ville natale mais bien après. J'étais en quelque sorte son "ainée".
Merde, ça faisait bizarre...

Mais attend y'a un truc qui cloche là...

Tout en déniapant consciencieusement les écailles de ma pitance je la regardais bâfrer.
Normale.
Elle avait l'air normale.
Pourtant son histoire puait le mensonge....

On avaient subit la malédiction derrière notre putain d'murs à la con et en quasi vase clos à Gilnéas. Mais l'époque où Fossoyeuse était encore habitable remontait à avant l'apparition des premiers germes de worgenisation. J'avais pas r'tenu l'nom d'la ville en question mais cette leçon d'histoire de Mamie Ja' m'avait marquée : pendant que le Fléau défonçait la gueule de nos alliés pour les transformer en sac-d'os qui crapahutent, nous on f'sait mine de rien voir planqués derrières nos remparts. Les réprouvés sont arrivé plus tard pour remplacer le Fléau, mais pour nous ça n'a pas changé grand choses jusqu'à ce que l'épidémie du Loup s'déclare. Ça signifiait donc que celui qui l'avait mordu, s'était tiré de Gilnéas bien avant ça et que déjà à ce moment là il était porteur du mal. Et le salaud s'était monté une petite meute bien à lui qui serait passée entre les mailles du filet du grand Congelé puis d'la Catin Crevée...?

Migraine.

P'tain j'étais en train de me claquer un neurone à réfléchir autant. Bouffer, m'battre, et pêcher. Ça c'était à ma portée !

- T'as quel âge si c'est pas indiscret ? Parce que bon ça m'semble étrange C'que tu m'chantes. La seule chose qui vient de Fossoyeuse ce sont ces crevards d'réprouvés....

Ayanamie, surprise, pousse un grognement

-Alors comme ça tu ne me crois pas !!!

J'ai vingt-deux ans, je suis née en tant que Worgen.

Tout ce que je sais, ce que je ne viens pas de Gilneas, cela est sûr, je sais juste que mon père a fui les hommes car il été pourchasser, je ne connais pas ce qu'il s’est passé avant, a part que j'ai eu douze frères ainés, et que mes parents se sont installés a Fossoyeuse. Lorsqu'il y été, ils mon juste dit que Fossoyeuse avant été belle et qu'elle fut détruit, c'est tout ce que je sais...


Ayanamie soupir...

-Je ne connais pas toute l'histoire, a part que quelque fois ils s'amuser à embêter les hommes pour se venger qu'il disait mon père

Ayanamie viens de finir son poisson, elle c'est régaler....
Des petites lueurs frémissent dans ces yeux

Bon.... Pas brusquer la bête. Pour moi son histoire t'nais pas la route, mais fallait reconnaitre qu'j'étais pas un cerveau non plus. J'avais jamais été à l'école et j'imbibais mal les l'çon d'histoire de Mamie Ja'. J'm'fiais juste à mon instinct et çuis là m'disait qu'un truc sonnait faux et pas crédible.

Fallait que j'en réfère à d'plus hautes instances.

- Vas-y régale-toi ma fille. J'vais chercher au bahut si y'a pas quelqu'un qui pourrait écouter ton histoire. Et surtout bouge pas d'ici, hein ?!

J'm'éloignai à grande enjambées en direction de la Tanière. Trouver un alpha... vite !