Salutation.
Connaissez vous Batkev, non, très bien. Batkev est un guerrier issu d'une famille noble de Lordaeron. Alors qu'Arthas revenu de Norfendre avec son épée, le guerrier Batkev eut compris ce qui allait se passer, et quitta la belle Lordaeron. Il rejoignit la Hurlevent, avant de partir pour Norfendre, a la demande du grand Généralissime Tirion Fordring. Il tenta de venger la trahison d'Arthas, mais, il ne parvint pas a être pret a temps. Depuis la mort d'Arthas, le guerrier Batkev siège a Hurlevent et établie tout les controles d'identité des visiteurs, afin de diminuer le taux de criminalité de Hurlevent.
Alors qu'il se dirigeait vers l'ambassade arrierée, il apris qu'elle était vendu, a un homme. Lorsqu'il s'y rendit reprendre ses affaires, il croisa l'homme en question et fit pris de passion pour la cause de la meute Sombrecrin. Il tente donc aujourd'hui de la rejoindre, et d'aller venger les Worgens de la Dame Sylvanas, une ancienne forestiere reconvertit, qui souhaite sésormais détruire les Worgens part des attaques de plus en plus lache.
Très firand de RP, je souhaite rejoindre votre guilde car je suis vraiment attiré par l'idée du RP Worgen, une guilde entierement Worgen, tout cela a l'air très attirant.
(Batkev est actuellement humain mais va devenir un Worgen après avoir été mordu par un Worgen en Gilneas, sur une mission commandé par les Roi Varian et Grisete en personne. La transformation se fera au fur et a mesure du temps)

La cheminée de la salle commune me brûle la gueule. Je m’éloigne, mon pelage garde bien la chaleur et je vais encore rôtir comme une dinde. Je suis sur que si mes joues étaient visibles on pourrait apercevoir mon teint croisade écarlate.

Regarde moi ces canailles. Encore à table, le ventre rond à refaire le monde à coups de vins gilnéens. Laissez en un peu les gars, on va pas se ruiner pour vos gosiers. Mes babines se retroussent sur le côté droit, ce qui doit certainement s’apparenter à un sourire. Je passe ma langue sur mes canines, j’en ai ras le bol de baver comme une bestiole.

Un bruit venant de l’extérieur nous alerte. Les oreilles orientées vers la rue, les yeux plissés. J’aime sentir mes loups le poil hérissé, j’en ai la chair de poule. Qui vient nous emmerder après le soupé ?

Je fais signe à mes gars de ne pas bouger et regarde par la fenêtre. J’éclate de rire.

- Repos les gars, c’est le gars qui s’est pris d’amour pour nous. Vous savez le garde là…

Ils pipent rien à ce que je leur raconte. Je soupire et vais ouvrir la porte.

- Hé toi, derrière l’arbre, te caches pas et rentre un peu. Tu vas chopper une saloperie avec ce temps de chien!

Je me marre derechef… qu’est-ce que je suis drôle !

Je suis dans la ruelle sombre, la pluie me glace le sang, je n'ai jamais ressentit un tel froid depuis que je suis partit du Norfendre. La pluie s'abattait a torent sur ma tête, j'avais laisser mon heaume dans la ferme de famille, et regrette vraiment ce choix.

De l'éxterieur, j'entend de nombreux cri, tel une meute de loup affamé, suis-je bête, c'en est une. Des bruits de bouteille qui s'entrechoque retentissent jusqu'à l'éxterieur. Quand je voit a la fenetre une silhouete étrange qui me guete.

La porte s'ouvrit et l'on me dit:


- Hé toi, derrière l'arbre, te cache pas et rentre un peu. Tu vas choper une saloperie avec ce temps de chien!

J'entre alors dans le lieu de réunion de ces loups assoifés et affamés, visiblement. Je dit a celui qui m'avait fait entrer:


- Je vous remercie vraiment de me faire rentrer, le temps est vraiment mauvais en ce moment. De plus, j'ai oublié, ou plutot laissé mon heaume dans la ferme familial.

J'entend alors, une table de loup, éclater de rire, je ne sait pas si c'est de moi qu'ils rigolent, ou si il s'agit qu'ils sont ivre, mais, je continu:


-Il fait très chaud dans votre... caserne. Puis-je m'installez près du feu afin de me réchauffer un peu?

-Il fait très chaud dans votre... caserne. Puis-je m'installez près du feu afin de me réchauffer un peu?

Mes babines s’étirent, laissant apparaître une dentition impressionnante. Mais si, je vous assure monsieur, ceci est bien un sourire. Je m’écarte de l’encolure de la porte. Une invitation physique vaut mieux que milles blabla.

Je le regarde de haut en bas en détaillant le moindre détail. Mon œil alerte s’arrête sur l’arme accrochée à sa ceinture.

- Si tu veux entrer tu vas devoir poser ça sur le râtelier. Personne ne reste armé ici… sauf nous !

Ma démarche est assurée, le bonhomme ne m’impressionne pas. Il a l’air tout chétif ainsi, trempé jusqu’au os. Je le renifle rapidement, réflexe de ma condition. Son odeur ne m’est pas familière. Mais à partir de maintenant je saurais le suivre à la trace.

Je me déplace jusqu’à la table où se trouve tout le beau monde. Ronds comme des têtes d’épingles. J’embarque une bouteille de vin avant de me ramener sur une chaise devant le feu à l’écart du reste du groupe. Plus un bruit, mes loups le fixent sans broncher.

- Détendez-vous les gars et continuez ce que vous faisiez.

Réactions immédiates, le brouhaha reprend. Je fais signe à l’invité de me rejoindre en pointant le tabouret à mes côtés. J’avale une longue gorgée d’alcool et m’essuie la gueule du revers de la patte.

- Tiens bonhomme, t’en veux un peu ?

Je plonge mes yeux dans les siens, me fera-t-il l’affront de refuser l’invitation…

- Tient bongomme, t'en veux un peu

Ce loup avait une démarche assuré, il ne se laisser pas impressioné mais ne l'était vraiment nonplus. Il s'agissait d'un loup, après tout, un simple loup, du moin, dans l'apparence. Lorsqu'il me tendit la bouteille, je lui répondit:


- Je serais ravi, elle doit bien être bonne pour que vous la boyez!

La bête me fixe alors, mais, étrangement, au lieu d'en avoir peur, je comprend sa douleur, et, je suis comme près, a l'accepté. Je lui racconta alors :


- Vous savez mon brave, la régence m'envoie faire un mission en Gilneas, dans les jours qui arrivent.

La, le loup me fixe du regard, avant de s'emparer de nouveau de la bouteille et de remprandre une gorgée.