Shorkan etait d'humeur joyeuse à son habitude. N'en faisant qu'à sa tête étant jeune, il avait réussit à ce controler et à accomplir chaque devoir qui lui etait donnés.
Quittant sa famille un bon matin pour rejoindre la lutte contre les réprouvés et hostiles créature peuplant les royaumes de l'est, Shorkan avait apprit à ces dépends les rudesses de la guerre.
Le temps passe et les combats sont de plus en plus denses, mais les prouesses du jeune homme le font remarqué et placé à la tête d'une petite legion d'hommes près à en découdres avec c'est ignobles réprouvés.
Mais l'ordre etait clair, Rentrer à Gilnéas au plus vite.

Shorkan ce tourmentait de questions, que ce passe t'il ? Les réprouvés ont infiltrer le lieu de son enfance ?
Sa famille à t'elle survécu ?
Arrivé la-bas, la stupéfaction ce lisaient sur le visage des hommes.
Des loups aigris, affamés et bipedes attaquaient chaque personnes présentes, un carnage fit face devant
les yeux de Shorkan.
Le jeune commandant ne s'attarda pas et lança l'assault, heuresement pour eux, ils commencaient à avoir la situation sous controle.

Mais le destin tragique soit-il, en décida autrement.

" Shorkan !! Cria-t'elle "

Il reconnu sa voix et son visage, Sifhalla, la soeur ainée de Shorkan etait la, pleine de larme,
de bonheur de retrouver son frère ? Shorkan aurait préferer.
Un Worgen lui avait attrapé la jambe et attirée vers le bas, ces griffes entailla pronfondément la gorge de la jeune fille, et d'un dernier ralle désespérer de celle-ci, on pu entendre murmurer un dernier " Je t'aime ".

Shorkan de rage ce jetta sur le grand loup pour esperer sauver sa soeur, mais en vain,
il planta son épée dans le crane du Worgen et la laissa pronfondement ancré.
Malheuresement la lutte n'etais pas qu'en sa faveur et Shorkan fut mordu à l'avant bras,
un mauvais présentiment lui parcouru le coeur. Deviendrais-je aussi un meurtrier ?

Perdu, il quitta l'armée et resta enfermé dans une demeure vide.
Ce ressassant chaque parcelle de souvenir de la mort de sa soeur. " J'aurais pu agir..."
La Transformation ne fut pas imminente, comme l'agonie d'ailleur.
Shorkan souffrait de jour en jour, griffes,poils il ne ressemblait plus à un humain, de honte pour sa patrie
il resta enfermé mais sortait le soir pour manger, croisant d'autre worgen, mais il n'en fit aucune attention,
de peur de finir comme eux, ou peut-être etait-ce déja le cas...

Dans la nuit un mauvais présentiment pris à la gorge le jeune worgen.
Des rallements sinistres ce fit-entendre à travers la porte,
c'est-il fait trahir par des gardes en ce découvrant la nuit ?
Non, impossible...

La porte s'ouvra et laissa entrevoir une hache, et un pied, difforme et osseux..des réprouvés.
Sans eux rien n'aurait été comme ça ! Gilnéas aurait pu ce consacré entierement aux worgen et ainsi,
Shorkan aurait pu sauver sa soeur !

Fou, de rage ou de tristesse, Shorkan fondit sur la porte et ces adversaires.
Il fit vacillé l'un d'eux et lui déchira la nuque à coup de griffres, l'autre réprouvé riposta
mais le Worgen a les capacités d'un loup et donc une meilleure agilité.
Celle-ci lui servit, et d'un écartement provisoire il fit basculé en sa faveur le duel.
La tête du réprouvé à la perpendiculaire de son corps, il n'entendit plus rien.
Il n'avait plus rien d'un humain, ni d'un guerrier. Ce faufillant dans l'ombre, ne maniant plus que des armes légere, vives et précise. Le courage l'avais abandonné avec son apparence humaine pour faire place à la discrétion et la vengance.

Hurlevent désert et calme, Shorkan s'emerveille de l'architecture de la cité.
Il avait entendu parlé d'une meute qui pouvait l'aider, un certain Morkäy l'avait conseillé
de venir voir de lui même à Hurlevent.
C'etais la premiere fois qu'il parlait à un semblable. Pas vraiment de difference avec un humain, juste le même mal-être et peu-être le même gout prononcé pour la viande.

Shorkan ce rendit devant la porte, frappa deux fois et attendit.

Proche de la porte sur le muret de gauche bien dissimulé dans les ombres, Lithaniell attendait. Silencieux et attentif, il vit arriver le Worgen.

Il aimait surprendre depuis qu'Ezeckiell lui avait apprit quelques techniques avancées de voleur.

D'ailleurs sortant de son camouflage, le premier mot qu'il émit après les deux coups de Shorkan était un simple :

"Bouh !" Pas vraiment fort mais audible. Ses babines semblaient dessiner un sourire presque humain.

"Tu cherches qui ici ? Tu aimes la dynamite ? Moi j'adore les trucs qui font BOUMMM ! T'sais les trucs qui pètent dans une gerbe d'étincelle et de feu..."

Voyant son égarement, il reprit un air plus...Sérieux.

"Nan sans déconner t'es là pour voir les Alphas ou juste papoter à une porte ?"

Je préfère les grosses, longues et bien lourdes, on est certain du résultat au moins...

Rien ne vaut une épée ou une hache à deux mains !
Il n'y a rien de plus franc et sincère qu'une bonne lame, et si on n'est pas trop empoté, on ne s'y prend qu'à une fois pour couper quelque chose en deux. Une épée, ou une hache, ça ne ment pas, quand ça coupe, c'est pas de la tarte.
Un couteau, il faut planter encore et encore, et ce n'est même pas sûr de tuer sur le coup... quel cruel manque d'égard.
La dynamite ça en met partout et ça peut même se retourner contre nous.
Ce n'est pas vraiment fiable...

Mais une épée, aaaah... rien de telle qu'une épée !

Perdu dans ses pensées, Adrian écoutait la conversation depuis le toit de la tannière, prenant un bon et mérité bain de soleil après s'être débarassé de la crasse du combat.

Elrön descend les escaliers du bâtiment de la tanière et aperçoit le Worgen étranger avec Lith et perçois l'odeur d'Adrian à l'extérieur, sans le voir.

"Ah j'me disais bien que j'avais senti un étranger ! Qu'est ce qu'il veut ? Si c'est pour nous rejoindre en ce moment ça va être compliqué d'après ce que j'ai compris, enfin c'est les grands patrons qui décideront !"

Ayant dit cela il se faufile à l'extérieur et monte sur l'arbre devant la tanière pour observer la suite des évènements

"Comment nous connais-tu ? Et pourquoi désire tu tant intégrer la Meute Sombrecrin ?"

Shorkan renifle l'air et y détecte d'autres odeurs étrangères. " Bah sa fait rien, autant que la discutions soit animé " Pense le worgen.

" Je vous connais par le biais d'un autre Worgen qui m'a raconté du bien sur cette Meute. Je me suis douté que j'étais pas le seul à vouloir rendre des comptes avec c'est sac d'os, les réprouvés. Donc j'ai commencé à chercher votre repaire et je suis arrivé ici."

Eväh dormait paisiblement au deuxième étage, sa nuit ou plutot, sa matinée, avait été courte.

Son sommeil fut vite interrompu par des bruits provenant de l'extérieur. Agacée, elle se leva douloureusement,les jambes engourdies, puis vint se poster à la fenetre.

Elle apercevait Lith, qui bougait frénétiquement les membres, comme si il racontait une histoire fabuleuse. Encore une histoire de dynamite , surement.

Un autre worgen était là , devant lui , et faisait de meme. Il mimait des gestes d'épees et de combat.

" Qu'est ce que.."

elle descendait lentement les marches,attrapa un morceau de pain au passage et prit une forme Worgen avant de se montrer.

" Bonjour Lithaniel, Elron "

*elle s'inclina difficilement, puis son regard se porta sur l'inconnu.*

" Je cherche un Alpha , comme tu me l'annonce , pour réjoindre votre Meute "

" Ah il veut nous rejoindre hein..Mmhff. Je vous le laisse , ça fait 3 jours que je ne dors pas , il y en a toujours une ! ravie de t'avoir connu quand meme. Et puis , les Alphas ne devraient pas tarder. Sois patient. "

Elle re-rentra à l'intérieur et se dépecha de remonter.

Raaaah ! Benneth pense qu’on doit rouvrir le recrutement. J’ai déjà pas mal de tête dure à avoir à l’œil, bordel ! En plus JE DOIS me farcir les entretiens… parce que MONsieur joue les ambassadeurs auprès de nos « peut-être » futurs alliés. Je rage ! Le vacarme que je fais dans mon bureau paralyse tous les habitants de la tanière. Pas un bruit, sinon ma violence à tout balancer dans la pièce et mes rugissements. BORDEL !

Les papiers sont étalés un peu partout dans la pièce, j’en retiens quelques uns d’atterrir dans le feu. Il va bien falloir commencer de toute façon. Je garde en main la feuille volatile et lis brièvement le nom inscrit sur le rapport. Je n’en lirais pas plus, il s’expliquera en temps voulu. Je sors furibonde en ouvrant la porte avec toute ma délicatesse. Le louveteau qui garde mon bureau se dresse comme un piquet. Je lui tend le bout de papier maintenant tout froissé.

- Va me le chercher, et VITE !

Je me retourne vers le second louveteau qui ricane en regardant son ami. Un sourire sadique se dessine sur mes babines. Tu vas adorer mon petit loup, tu vas adorer !

- Toi ! Range moi ce bordel ! Bouge toi, allez !!!!